Si le paysage urbain en Algérie reste particulier et possède sa propre signature d’une région à une autre, il n’en demeure pas moins un parfait décor pour le tournage de plusieurs clips.
Des artistes étrangers qui n’ont aucune attache avec l’Algérie, ou alors des origines éloignées avec le pays. Voici donc un tour d’horizon de ce qui s’est fait de plus remarquable en termes de clips tournés en Algérie.
Miraa May – What I Smoke
La fille de North London qui a passé ses premières années en Algérie est revenue vers ses racines pour inscrire la densité de ses textes dans un décor algérois très marqué. Une manière pour elle de s’approprier des rues et des allées qui l’ont vu naître.
The Blaze – Territory
Composition des deux cousins français Guillaume et Jonathan Alric qui a fait exploser un décor algérois jouant une fonction claire prouvée par le titre « Territory » (Territoire en français), où le protagoniste du clip fait jaillir son instinct animal pour s’approprier des cours de la Casbah et des toits donnant sur la baie d’Alger.
Médine ft. Booba – Kyll
Deux des grands noms du rap français qui inscrivent leur texte dans un Alger chaleureux et vivant. Mise-en-scène travaillée avec quelques bonus en prime : une politicienne française controversée mise en pignata et démolie par des enfants et quelques bouteilles de Selecto ici et là.
L’Algérino – Bawa
Enfant terrible du rap français, l’Algérino, Algérien jusqu’au bout du pseudonyme, met en avant dans ce clip plusieurs éléments de la culture chaoui, à savoir la danse, les chevaux et les fusils, le tout dans un décor de reliefs des Aurès propre à l’Est algérien.
Amazone-Léa Castel :
Aurès toujours avec le clip d’Amazone de Léa Castel tourné en plein coeur de Timgad, avec plus de 100 figurants au compteur.
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