in

“Le livre qui ne peut pas attendre”, une invention révolutionnaire

Le triomphe des nouveaux auteurs restera toujours impalpable tant que les œuvres seront lues par un nombre réduit de personnes. Un fléau qui pousse les jeunes auteurs à se limiter à une seule édition, voire à un unique livre qui ne connaitra pas le succès mérité.

Pour y remédier, l’éditeur argentin indépendant Eterna Cadencia a publié un livre qui disparaît lentement et irréversiblement, dans les deux mois après le contact avec l’environnement et ceci grâce à une encre spéciale. Ce nouveau concept est appelé : Le livre qui ne peut pas attendre – The book that can’t wait.

Lassé d’attendre sur une étagère des mois voire des années, le livre n’est plus ce tas de papiers très patient. Il a désormais une durée de vie.

Mais plusieurs questions surgissent :
– Comment utiliser ce bouquin après la disparition des textes ?
– Pourquoi acheter un livre pour le posséder durant deux mois seulement sachant que cela coûte assez cher ?
– Et si le livre nous plaît, comment fait-on pour le relire une seconde fois ?

Le concept a ses détracteurs et ses sympathisants. Pour ces derniers, il peut constituer un jeu pour les jeunes enfants. Comme un défi lancé, il les poussera à lire plus vite et beaucoup plus.

Écrit par vinyculture

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

GIPHY App Key not set. Please check settings

One Comment

Alger- Le métro, le bus et le tramway gratuits du 4 au 6 juillet

Cinquante ans, ça se fête ! “Algérie- Feux d’artifices et parade”