Sa mort est due, selon son neveu qui s’est confié au Los Angeles Times, à une pneumonie. Son décès est survenu dans la soirée d’hier dans son domicile, sur les hauteurs hollywoodiennes.
C’est donc un géant de la littérature américaine qui s’en va, en laissant derrière lui pas moins de 25 romans, des essais, des pièces à succès à Broadway, des scénarios et des œuvres pour la télévision.
Gore Vidal avait tendance à laisser transparaitre ses opinions politiques dans ses textes. Il a par ailleurs tenté à plusieurs reprises de se faire élire à des mandats politiques, mais ces tentatives se sont avérées vaines.
Encore une icône de la culture qui quitte ce monde. Les œuvres de ce grand homme de la littérature resteront quant à elles, immortelles.
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