Projections du 1er au 03 août à la cinémathèque d’Alger Centre

Des projections de films sont programmées du 1er au 03 août à partir de 13h à la cinémathèque d’Alger Centre.

Programme des projections de la cinémathèque d’Alger Centre :

Mardi 1er août à 13h et mercredi 02 août à 15h

Taxi Driver (1976)

Travis Bickle, un jeune homme du Midwest et ancien marine, est chauffeur de taxi de nuit à New York. Insomniaque et solitaire, il rencontre Betsy, une assistante du sénateur Charles Palantine, candidat à la présidentielle, mais elle le repousse après qu’il l’a emmenée voir un film pornographique. Confronté à la violence et à la perversion de la nuit new-yorkaise, il achète des armes au marché noir et s’entraîne à les manier.

Mardi 1er août à 15h

Raging Bull (1980)

En 1941, Jake LaMotta a tout juste dix-neuf ans et une foi absolue en sa bonne étoile. Joey, son frère, parvient à le persuader qu’il peut prétendre au titre de champion du monde de boxe. Commence alors un entraînement intensif pour Jake, qui n’en néglige pas pour autant Vickie, sa jeune et ravissante épouse.

Mercredi 02 août à 13h

Alice n’est plus ici (1974)

Veuve depuis peu, Alice part avec son fils pour Monterey, bien décidé à réaliser son rêve de toujours; devenir chanteuse. En court de route elle trouve un emploi de serveuse et fait différentes rencontres qui l’amèneront à reconsidérer ses projets.

Jeudi 03 août à 13h

Casino (1995)

Las Vegas, années 70. Ace Rothstein dirige d’une main de fer le Tangiers, hôtel casino parmi les plus prospères de la ville, financé en sous main par le puissant syndicat des camionneurs. Ace est devenu le grand manitou de Las Vegas, secondé par son ami d’enfance, Nicky Santoro. Impitoyable avec les tricheurs, Rothstein se laisse un jour séduire par une virtuose de l’arnaque d’une insolente beauté, Ginger McKenna.

Jeudi 03 août à 15h30

Un voyage avec Martin Scorsese à travers le cinéma américain (1995)

Martin Scorsese fait ici le récit illustré de son voyage personnel dans l’histoire du cinéma américain. Cet itinéraire d’un cinéaste-cinéphile est celui de sa propre formation, et il ne suit pas, loin s’en faut, les chemins balisés par les historiens du cinéma.