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Portrait : Zaki Sallam, la sculpture comme moyen d’expression

Une barbe blanche, un Kefiah et un visage qui dégage une émotion intense. Derrière ce personnage aux mains d’or se cache Zaki Sallam, un artiste comme on en rencontre peu, avec un récit qui ne laisse pas indifférent et qui s’exerce à sculpter l’Histoire de ses mains.

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Avec un nom qui inspire et aspire littéralement à la paix, Zaki Sallam, natif d’une famille palestinienne réfugiée à Damas en Syrie, obtient sa licence en sculpture, dans les années 80, puis son diplôme dans la même discipline à l’école des beaux-arts de Damas en l’an 2000.

Arrivé en Algérie, où il est actuellement installé depuis le mois d’octobre 2012, après avoir fui la guerre qui a éclaté en Syrie, Zaki Sallam a été membre de l’association des artistes plasticiens de Damas mais aussi celle des artistes plasticiens palestiniens en Syrie.

Sculpteur sur bois, sur céramique, marbre, bronze et sur pierre, pour ne citer que ces matériaux, le premier prix de sculpture du Festival de Damas de la culture et du patrimoine en 2004 a à son actif près d’une quinzaine d’expositions au Moyen-Orient (Syrie, Jordanie, Bahreïn..) mais aussi en Europe, notamment en Espagne, en Italie, en Suède et en Allemagne.

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Peu connu au niveau de la sphère artistique nationale, le plasticien plein de talent qu’est Zaki Sallam a exposé au niveau de l’ambassade de Palestine en Algérie. Il a notamment été l’un des artistes mis en avant dans le cadre de la manifestation culturelle Constantine, capitale de la culture arabe en 2015.

Quelques une de ses créations sont à découvrir ci-dessous.

Écrit par vinyculture

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